Manoir Springs

Sujet: Manoir Springs Lun 28 Sep 2009 - 18:43

J'observais avec une angoisse grandissement et une groge de plus en plus brulante, mon protégé se tordre de douleur. Tout ce cirque me rappelais ma transformation, le souvenir cuisant de la douleur refis surface en moi et je me sentis tellement concerner lorsqu'il laissai échapper son dernier cris en tant que vivant, en tant qu'humain. Il appelais à l'aide, qui ne le ferais pas sous de telles soufrances ? Je vis Jena arriver, ma soeur. Elle regardais Jirgo avec envie, avec beaucoup trop d'envie, elle allait carrémenet lui sauter dessu. Le mordre et ainsi le tuer, pourtant dans quelques minute, à peine, il n'aurait plus rien d'attrayant pour nous, le venin serait en trop grande quantité et son sang infecté.

- Je l'ai mordue Jena, dis-je d'une voix blanche, sur le même ton. Il était mourrant.

Mes yeux ne quittaient pas ma victime, et ma concience surveillais ma soeur, demain, je n'aurais pas les yeux redevenue rouge pour rien, oh non, je ne la laisserais pas le mordre. Je quittai Jirgo et levai la main, me retournant et poussant ma soeur vers le mur jusqu'à ce que son dos soit appuyer sur celui-ci. Je me savais plus forte qu'elle, je serai en mesure de la retenir si elle perdait tout controle. Je lui jetai un regard d'avertissement.

- Tu n'es pas un monstre, lui murmurais-je doucement, dans quelque seconde il sera des nôtre.

Sujet: Re: Manoir Springs Lun 28 Sep 2009 - 22:51

L'envie. C'était le seul mot qui définissait ce que je ressentais en ce moment. Oui, c'était Jirgo, une personne assez attanchante malgré son côté casse-pied, mais c'était aussi un humain, un humain sanglant et totalement irrésistible! Ma gorge brûlait de plus en plus quand j'entendis Malya. Un instant, j'oubliais presque le fait que je voulais sauter à la gorge de Jirgo. Elle l'avait mordu! Hey oui, bien sûr! Il fallait voir l'état dans lequel il était, il criait, se déchênait, souffrait! Sauf que je croyais tout de même qu'elle avait fait le bon choix... Enfin, je crois, écoutez, je suis un vampire moi, tout ce que je veux c'est de boire, d'habitude, j'aurais eu des pensées ordonné, mais là! Mmh! Il avait l'air si appétissant! *NON! Jena! Tu ne tuera pas un humain!... Allez! Juste une gorgé!*

Ma conscience elle-même ne savait plus quoi penser! *Je le tue, je le tue pas! Je fais quoi là!?* J'essayais de m'éloigner, mais tout mon corps m'en empêchait, si quelqu'un ne m'enlevait pas du chemin dans 10 secondes, un humain de plus serait mort très bientôt!

Puis, je sentis la main brusque de Malya me pousser. Elle saurait me contrôler, mais seule avec moi-même, Jirgo n'aurait sûrement plus été des nôtres. Elle me donnait un advertissement qui aurait été inutile sans sa main plaqué sur moi. Je savais que je n'aurais pas du avoir ces pensées si ignoble, mais c'était dans ma nature, c'était comme ça que l'on m'avait créé!

Je n'aurais plus à me contrôler bientôt. Heureusement! Je n'en pouvais plus moi de sentir une si bonne odeur et de ne pas pouvoir la gouté!

- Laisse-moi! Juste un goutte! dis-je avec frustration.

J'en avait trop envie maintenant! Mais qu'est-ce qu'il faisait lui à prendre autant de temps à se transformer!

Invité

Et moi qui avais cru pouvoir enfin passer une journée calme… J’étais revenu au manoir dans la matinée, j’avais comme excuse le devoir de venir chercher les quelques derniers morceaux de mon attirail que j’avais laissé chez les Springs pour les ramener chez moi, chez Josh, seulement, le calme plat de la villa familial du clan me manquait aussi beaucoup. Les long corridors vide, les nombreuses pièces inhabités, le silence total, l’immobilité que toutes choses ici avaient… Ça faisait un peu défaut au vampire en moi mais, évidemment je n’aurais troqué la maison Vane pour rien au monde. Enfin… Non. Non je ne l’aurais pas fait. Même si, à présent assise sur le bord d’un somptueux et moelleux matelas d’un large lit dont le pied en bois massif m’arrivait aux hanches, posée devant une grande fenêtre aux rideaux chatoyant donnant en vu un beau paysage de forêt, je n’aurais rêvé que de rester là, sans bouger, faisant appel à tout l’inhumain en moi pour simplement le rester.

Et bien sûr, ces pensées n’étaient que passagères. C’était dû au manoir. Enfin sûrement. Ça devait être cela car je n’aimais pas vraiment ma propre façon de dénigrer ma moitié humaine qui se débattait au fond de moi pour que je fiche le camp jusqu’à chez moi. Là, m’y attendait une deuxième famille avec qui j’avais un peu de mal à faire cohabiter avec celle qui m’avait adoptée depuis mon arrivée d’Argentine. Seulement, pour l’instant, j’avais une envie irrésistible de retarder le moment de retourner à la pouponnière. Puis, j’avais tout de même beaucoup à faire.

Sans que cela ne puisse être réellement évident, étant donné ma passion –ma maladie plutôt- pour le rangement et la propreté étincelante, j’avais une panoplie d’objets hétéroclites, diverses et un peu éparpillé dans la myriade de tiroirs, de sous-porte et de compartiment que comptait ma chambre. Moi qui n’aurait pas vraiment du posséder quoi que ce soit étant donné la principale partie de ma vie d’avant, seulement, un peu conservatrice, j’avais garder pratiquement tout ce qui m’avait été donné durant cette longue période. Puis, au moment de quitter mon pays natal pour les États-Unis, ma terre promise, j’avais secrètement tout mis dans un avion, et j’étais partie par l’océan sans demander mon reste. Si à mon arrivé je n’avais pas grand-chose, une fois avoir passé l’aéroport, j’avais deux bonnes valises contenant ma collection de petits joujoux. Et voilà, aujourd’hui, j’avais le mandat d’en débarrassé cette chambre.

Seulement, alors que j’étais toujours assise sur le grand lit, la tête dans un vieux livre de poche que j’avais jadis dénichée dans une bien lointaine boutique de vieillerie, j’avais sentie l’Odeur se glisser jusqu’à mes narines. Ce parfum enroulant d’un liquide chaud et coulant entre les chaires d’un être fragile. Je soupirais doucement. Décidément, aujourd’hui, la vampire en moi avait repris le contrôle. J’avais soudainement peine à me concentrer. J’avais toute la misère du monde à penser à autre chose même. Mais pourquoi diable cette odeur était-elle présente dans la villa ?

- Je l'ai mordue Jena, il était mourant.

La voix de Malya me glaça le sang. Le mien. Celui qui ne fit qu’un tour avant que je comprenne enfin l’amplitude de la situation. Un humain était dans la maison. Un humain bien sanglant qui n’avait à faire que de déverser sa tentation pure sur le cuir du canapé ouvert sur lequel on l’avait provisoirement posé. Et puis, ce n’était pas n’importe quel humain. Non, son odeur était bien claire pour moi. Il s’agissait de Jirgo. Le copain de Myllia. Il était présent au mariage, avec sa sœur… Oui. C’était bien lui.

Alors que mon instinct de parfaite hybride, de mère aussi dans un certain cas, reprenait ses droits sur mon envie déchirante de vider ce garçon de son sang, je me jetais en bas des escaliers. Malya était dans le salon avec Jena et Jirgo. Quand j’y entrais en trombe,
-en parfait silence, troublé simplement par ma respiration légèrement haletante- la scène paraissait figée.

Malya était au fond, et sa main était plaquée contre la poitrine de Jena, qui, les yeux d’un noir d’ébène, fixait le corps secoué de spasmes de douleur de Jirgo d’un œil affamé. Sans même réfléchir, je me projetais vers le canapé où le jeune homme se transformait progressivement. Je posais alors ma main sur son front, en ravalant d’un coup tous désirs de lui ouvrir la jugulaire. Il était glacial. Et même si pour moi qui bouillais en constante, la peau d’un humain n’était jamais si froide. On l’aurait cru en plein hypothermie. Évidemment il était encore beaucoup plus chaud au contact que le corps d’une de mes sœurs, mais, je sentais juste là sous ma main, sa température chuter à vu d’œil.

Puis, à travers sa peau rendue presque diaphane, je voyais clairement le serpent de venin monter tranquillement dans ses veines lui congelant le sang, le diluant de lui-même, le transformant. Son corps était secoué de haut-le-corps et il n’avait de cesse de hurler. Moi, proprement, je n’avais jamais été transformé. Sans que cela empêche ma vie d’être douloureuse, ce genre de souffrance à l’état pure m’était inconnu. Et en voyant le corps de mon ami se pétrifier lentement tandis que ces cris se muaient en hurlement déchirant, je ne pouvais m’en plaindre.

Et puis, ce n’était pas tout que de devoir assister à l’horreur. Il y avait toujours cette odeur qui, même si doucement elle se transformait en froid frissonnant, restait pour encore trois bons jours, l’odeur du sang. Respirant un bon coup –par la bouche- je tentais de reprendre la maîtrise de tout ça. Malya et Jena étaient toujours là, juste derrière moi où elles s’affrontaient, immobiles et silencieuses, pour combattre le fléau de l’envie de ma sœur. Elle devait être forte. Nous devions toutes l’être au moment. Et d’un même mouvement de silence et de souplesse, je me levais et accourais vers les grandes baies vitrées pour les ouvrir d’un coup.

Le vent s’engouffra dans la pièce sans qu’on puisse sentir un quelconque changement de température. Il fit le tour du salon, ramassant toute odeur puis ressortit. Je revenais vers Jirgo, alors que lentement l’Odeur se diluait avec le reste de l’air que le vent apportait, et ressortait, puis me penchait vers lui. Pas de doute : il se transformait. Il n’y avait plus rien à faire. Plus rien à faire sauf attendre que naisse notre frère.

…

J’avais la tête baissée, les yeux clos et la respiration régulière. Non, je ne dormais pas. Mais j’en aurais eu de besoin. Si mes deux sœurs étaient dans une parfaite immobilité, attendant comme moi la fin du supplice, moi j’avais peine à garder les yeux ouverts. Je n’avais point voulu quitter ce garçon des yeux durant les trois jours précédent. Ça avait été trois fois 24h détestable et épuisante mais, quand enfin les cris de Jirgo s’étaient tus le silence nous fit comprendre que notre attente avait porté ses fruits.

J’ouvrais alors les yeux. De longs cernes sous ceux-ci mais, chose maintenant légèrement plus courante chez moi depuis quelques temps, ils ne m’handicapaient guère. Je relevais donc la tête vers le fond du salon où, toujours couché sur le canapé de cuir noir, Jirgo était à présent silencieux. Je sentais jusqu’ici la froideur de sa peau, et l’éclat noir de ses yeux perceptible de l’endroit où j’étais ne laissait aucunes autres options possibles. Il était maintenant des nôtres. Et il ne m’étonnerait pas qu’il soit assoiffé.

D’un mouvement lent de bras, alors j’attirais son attention. Alors qu’il nous regardait, la différence me frappait. Il n’était certes plus le même. À présent que ses traits c’était régulariser à lui en donner un visage, un corps complet d’une beauté blafarde et total, qu’il scintillait d’une aura de pouvoir, de contrôle, il ne se ressemblait pratiquement plus. Bien sûr, on aurait pu le reconnaître mais, pas sans noter immédiatement tous les changements qui lui avaient été apporté. Je lui souris un instant, avant de lui adresser les premiers mots qu’il entendrait de sa nouvelle ouïe.

-Bienvenue Jirgo.

Je ne m’attendais pas à ce qu’il comprenne. J’ignorais si déjà il avait su à propos de l’existence de cette race dans laquelle il faisait maintenant partie, mais je ne doutais pas qu’il était au moment désorienté. Sonné. De nouveau je lui parlais de ma voix douce.

-Est-ce que tu te sens bien ? Tout… Tout va bien ?

C’est quand on pose la question qu’on se sent idiote non ? Tant pis, voilà qu’avec son nouveau corps, la scène reprenait.

Invité

Malgrer mon inconscience, je sentit la douleur durant trois jours, trois pitoyables jours ! Je ne voyais que du noir pendant ses jours. Je ne sentais que souffrance pendant ses jours. C'étais à dire que je n'acouchait pas durant trois jours !!! Je savais maintenant se que les femmes ressentaient, mais je ne savais pas se qu'il m'arrivait à moi ! Allais-je mourrire ? Cette pensée m'asseillit lorsque les douleurs, qui m'étaient rendu presque suportable, s'apèsèrent.

Je m'inquièta, j'ouvrit les yeux et vit une femme d'une beauté inoubliable, je l'avais déjà vu. Mais je ne savais point où...

-Bienvenue Jirgo.

Je pencha quelque peu la tête, je ne la connaissait pas du tout... Je la regarda avec un air qui voulait dire que je ne comprennait pas se qu'elle disait...

-Est-ce que tu te sens bien ? Tout...Tout va bien ?

La fureur s'empara de moi tel un loup à l'attaque, je me leva mais (Comme une habitude) Mit mes mains sur le divans qui prit feu. Je ne m'en rendit presque pas compte.

-ÇA VA ??? ÇA VA ??? COMMENT POURAIS-JE ALLER QUAND JE VIENS DE PASSÉ DEUX JOURS ATROCE À ENDURER UN MAL INOUIT ! ET D'AILLEUR JE SUIS OÙ ? QUE M'ARRIVE-T-IL ? QUI ES-TU ??

J'avais maintenant avancé à moin d'un pouce de son visage, j'étais en colère affreuse ! Et d'ailleur, j'avais aucune idée pourquoi mais j'avais soif ! Une soiffe étrange ! Un goût d'ailleur de sang dans la bouche...

Soudain, je me souvint se qui venait d'arriver... Un loup, un attaque, une femme...

La fureur doubla.

-JE VEUX DÉGERPIR D'ICI, j'avais une voix tellement... anormal, on dirait plus viril...étrange...

Je tassa la femme de devant moi et me dirigea vers la porte qui, je ne sais comment, était dans mes souvenirs comme si j'avais toujours habité ici. Mais lorsque je mit ma main sur la poignée de porte, elle fondit sous mes mains. Je tenta de poussé la porte, elle prit flamme. Je ne comprennait plus se qu'il m'arrivait.

Sujet: Re: Manoir Springs Jeu 8 Oct 2009 - 21:32

Les heures s'écoulaient à une vitesse exessivement lente, mes yeux fixés dans ceux de Jena, impassible. Pendant trois longue journée, j'avais patiemment regarder la soif et l'envie de Jena diminuer, mais bien lentement il faut dire. Et je ne pouvais l'en blâmer puisque je ressentais la même envie, quoiqu'un peu moins frappante puisque mes habituelles yeux or avait reprient cette détestable couleur rouge sang. Et oui, je l'avais mordue. J'essayai de ne pas trop y réfléchir, avais-je fait le bon choix ? Le mauvais ? Peu importait maintenant, le mal était fait. Mort il serait pour l'éternité. Peut-être m'en voudra-t-il ? Je m'en voudrais, mais c'était pour moi la seule solution pour qu'il puisse continuer de veiller sur sa soeur, à distance peut-être, mais il la veillera tout de même.

Ses longs et déchirants hurlements cessèrent soudain, la transformation était terminée. J'entendis Kath lui parler, merci ma belle Kath, merci d'avoir pris soin de lui pendant que je m'occupait de ma soeur. Bien que pour elle l'attente fut plus éprouvante, elle était restée, veillant parfaitemen à sa tâche. Elle le salua, de sa voix douce et réconfortante, bien que je sache que ses efforts pour réconforter un nouvée-née était bien vaine. Rien ne peux réconforter la surprise de se voir dans un corps fort et puissant, d'entendre sa voix d'une manière différente. Et surtout, de sentir l'envie de boire du sang chaud et frais.

Du sang, Kath en avait, lui sauterait-il à la gorge ? Peut-être bien, mais nous avions l'avantage de prévoir ses réactions. Je lâchai ma soeur, et m'approcha de Kath plus rapidement qu'un clignement de cils. 3, 2, 1 .. BAM il éclata, se pleigant comme un pauvre enfant battu. Effectivement, la douleur était attroce, mais nous avions tous passé par la, excepté Kath. Il courru vers la porte, non, il ne partirais pas, il ne sortirais pas d'ici avant qu'il se soit nourrit, de sang animal s'entend. Soudainement alrmée et avec une rapidité inhumaine j'arrivais à ces côtés au moment ou la porte pris feu.

- Il est inutile de brisée les meubles, assied toi gentilment et laisse moi t'expliquer. Tu me connais, je suis Malya Springs.

Tout cela déblatéré d'un ton sympathique, allait-il m'écouter ou allait-il fuir ? Je ne lui en laisserais pas le choix, aucunement, il m'obéirait, j'étais de force à lutter contre lui, à renporter ? Je ne crois pas, mais la bagarre dureraut bien longtemps, cependant j'avais
deux soeurs qui m'aiderait. Ou peut-être une seule ....

- Kath, attention, tu es à demi humaine ....

Je savais qu'elle comprendrais l'allusion. Je n'étais pas obliger d'aviver sa soif et de prononcerle mot '' sang '' n'est-ce pas ? Voyant qu'il ne voulait aps cèder j'ajoutai :

- Si tu sors en dehors de cette maison, ta soeur risque de mourir, aisin que Myllia.

Le prendrait-il comme une menace ? Peut-être, mais cela le forcerais à m'écouter.

Sujet: Re: Manoir Springs Jeu 8 Oct 2009 - 22:59

Tranquillement, doucement, patiemment était les adverbes de ma situation. Tranquillement, la soif était devenue moins intense. Doucement, mes yeux redevenaient or. Patiemment, j’attendais que les jours passent.
La vraie Jena avait repris le dessus au fil de ces trois longues journées. Je remerciais mes sœurs d’avoir été là.

-

Jirgo avait cessé de crier maintenant et il ne semblait plus vraiment souffrir. Nous allions avoir d’une minute à l’autre, un nouveau frère (le seul). Ça première réaction serait sûrement colérique, il aurait soif et n’aurait aucune idée de ce qu’il était devenu, sans pour autant ne pas remarquer le changement en lui.
Son réveil fut, comme je le pensais, brutal. Quand Malya dit à Kathlynn de reculer, je la pris par les bras et lui fit signe d’aller à l’étage supérieur, par précaution. Puis, j’avançais vers Jirgo et Malya pendant que celle-ci lui parlait.

-Ne t’inquiète pas Jirgo, nous sommes là pour t’aider. Aller, assieds-toi

Invité

J'avais la colère en moi telle que je mangeais lorsque Malya rriva. Je ne sais pas pourquoi mais son nom calma mes ardeurs. Malheureusement, me menaçer de tuer ma soeur et mon amour était une mauvaise idée, je sauta les plombs.

-Tu as le culot de menaçer mon amour et ma famille ? Je m'en vais !

Je me mit à courir, mais j'étais plus rapide, plus fort qu'à l'habitude ! Plus impatient et là, j'avais le goût étrange de sang. La première personne que je croisa, j'étais étrangement assoifée. Je regarda la personne avec un air de bête. Je sentit une odeur succulante, une odeur allaichante qui me donnait envie de manger de la crème glacé à la vanille. MMMM Je penchait la tête de coté et regarda plus profondément la personne.

-Qui êtes-vous ? Savez-vous que vous êtes dans ma maison ?

Dans sa maison ? Comment pouvais-je être dans sa maison ? JE m'apprêtait a faire une chose que je ne connaissait pas mais qui m'en donnait envie. J'assoma donc la femme devant moi. JE n'avais aucune pitier et je ne ressentait pas le besoin d'apeller a l'aide. Lorsque la femme fut par terre, une odeur se répendit. Je pencha ma tête et vit du sang partout. Étrangement, je n'eut pas de haut le coeur. Je me pencha donc sur son poinget, là où le sang circulait le plus. Je sortit des dents tranchantes et nouvelles. Je ne comprenait pas se qui m'arrivait. Mais je savais une chose, j'avais envie de son sang comme jamais rien auparavant.

Sujet: Re: Manoir Springs Jeu 22 Oct 2009 - 1:19

Oh mon doux, mais quel idiot celui-là ... comment pouvait-il vraiment croire que je menaçait sa famille et surtout, pourquoi risquait-il la vie de sa famille en partant ainsi comme un demeuré ? Je ne comprendrais décidément jamais rien aux hommes. M'enfin, là n'étais pas la question, je me devais de l'Arrêter, car je n'accepterais pas qu'il tu des gens et j'imagine qu'il me serait éternelleemnt reconnaissant de l'empêcher de faire de sa soeur un repas bien chaud. Je me mis à sa poursuite, courant à en perdre halène, mais sa force de nouveau-née le rendait plus rapide que moi, la vitesse n'avais jamais été mon fort. J'étais puissante, forte, mais la plus rapide ? Non, pas vraiment et surtout pas contre un nouveau-né. Donc, dois-je vous faire un dessin ? est-ce vraiment nécessaire ? J'arrivai trop tard, beaucoup trop tard, il avait jeté la femme par terre et s'étais jeté dessu, s'abreuvant de son sang chaud et ma foie, alléchant.

Je me fis violence et m'empêchai de me jeter à ses côté, c'aurait été ridicule de ma part, il ya avait à peine trois jour que le sang du tueur avait couler dans ma gorge, j'étais prète pour une autre 50 ans ... Je décidai de le laisser s'abreuver de sa victime, que pouvais-je faire d'autre, elle était morte, déjà, et puis si je m'attaquai à lui en lui enlevant la proie il en serait irrité. Je ne voulait pas le voir irrité, je voulais simplement lui expliquer et dison que les hommes sont reconnus pour être plus sage le ventre repu. Lorsque la dernière goûte da sang franchi les lèvres du monstre je lui parlai d'un voix dure.

- Bien mangé ? Maintenant regarde moi et ne fait pas l'idiot. Ne devient pas un pire monstre. Je t'ai trouvé il y a trois jour, tu venais de te faire attaquer, et moi je t'ai souvé. Je suis un vampire et tu en es maintenant un aussi, je t'en supplie ne te laisse pas mener par cet instinc qui te quémande de tuer tout ce qui possède deux jambes. Tu ne peu retourner chez toi dès maintenant. Tu le regrèterais, car sans que tu puisse le contrôler, tu mangera ta soeur et celle qui fait battre ton coeur, je t'en prie, ne fais pas la même erreur que moi, ne tue pas un être cher, tu t'en voudra pour l'éternité, c'est long, l'éternité.

Dans mon regard se lisait la tristesse de mon funestre passé et l'excuse, oui, l'excuse, puisque d'un côté, c'était à cause de moi qu'il vivait cette demi-existance.

Invité

Je penchait la tête après avoir but le sang de cette femme. Étrangement, j'aimais sa. Alors j'entendis la voix de Malya Springs derrière moi. Je me retourna donc lentement. Un vampire ? Impossible que dans les compte ! Mais lorsque je me tourna pour regarder la femme étendu sur le sol, je comprit qu'elle ne rigolait point. Un frisson parcouru mon corps. Alors les Springs étaient des vampires ? Étrange... C'était peut-être l'explication de leur beauté non battable. Dors-t-on dans des cerceuil ? Chassons-nous pendant la nuit ? Pouvions-nous nous changer en chauve-souris ? Ridicule, je suis certain que ce n'était que des fables et que, à part de manger des gens, les vampires étaient des personnes normaux. Mauvaise pensées puisse que lorsque je me leva, je mit mes mains sur le corps de la femme qui prit feu. Manger les gens... Étrange Malya ne semblait pas être une assassineuse ( Mot INVENTÉ XD).

- Bien mangé ? Maintenant regarde moi et ne fait pas l'idiot. Ne devient pas un pire monstre. Je t'ai trouvé il y a trois jour, tu venais de te faire attaquer, et moi je t'ai souvé. Je suis un vampire et tu en es maintenant un aussi, je t'en supplie ne te laisse pas mener par cet instinc qui te quémande de tuer tout ce qui possède deux jambes. Tu ne peu retourner chez toi dès maintenant. Tu le regrèterais, car sans que tu puisse le contrôler, tu mangera ta soeur et celle qui fait battre ton coeur, je t'en prie, ne fais pas la même erreur que moi, ne tue pas un être cher, tu t'en voudra pour l'éternité, c'est long, l'éternité.

Alors si nous mangions pas de personnes, que mangions-nous ? Je lui posait la question sans quitter des yeux le corps de la femme consummer.

[Désoler poste merdique]

Sujet: Re: Manoir Springs Sam 31 Oct 2009 - 22:22

Il s’était sauvé! Merd*! Je voyais déjà Malya lui courir après et je les suivais. Quand j’arrivais auprès d’eux dans une petite maison, Jirgo était accroupi les lèvres tachées de sang avec un gros tas de cendre à côté de lui tandis que Malya elle, le regardait d’un air grave, presque totalement immobile. J’entendais Jirgo demander à ma chère sœur ce que les vampires mangeaient. Pff, on ne mangeait pas, on buvait. Et puisque je voyais Malya toujours aussi silencieuse, je lui répondais doucement pour ne pas lui faire peur.

-Nous ne mangeons pas, nous buvons, mais pas du sang humain, du sang animal. Certains vampires tue les mortels pour se nourrir comme tu viens de le faire, mais ces gens sont cruels et sans pitié. Ils ne pensent qu’à se nourrir, alors que nous, nous ne sommes pas comme dans les légendes. À toi de choisir si tu veux tuer tes amis et ta famille ou peu être même les brûler à ce que je vois.

Puis je le regardais intensément, peu être un peu trop même avant de regarder un peu ma sœur qui avait l’air toujours aussi triste.

Invité

- Il est inutile de brisée les meubles, assied toi gentiment et laisse-moi t'expliquer. Tu me connais, je suis Malya Springs.

J’admirerais toujours autant le sens des affaires de ma sœur. Brave Malya. Elle n’avait jamais eu l’air de se plaindre de quoi que se soit, prenant sous son ailles tous les vampires, demi-vampires, et demi-demi-vampires qui pouvait avoir besoin d’elle, veillant sur la survie humaine de toutes une ville, s’attardant à faire durer une paix impensable entre deux races mythiques sur son territoire, prête à attendre, à entendre, trois long jours de cris, de hurlement, et de douleur d’un autre pour arriver toujours à être calme presque railleuse.

Seulement, même si Malya avait la personne fondée dans le béton, Jirgo était un nouveau-né assoiffé et toutes les bonnes consciences du monde réunies n’auraient pas suffit à étancher sa soif. La seule chose qui pour le moment, paraissait pouvoir le calmer, c’était le feu, et le sang.

Le feu car voilà que la moitié du salon était en train de brûler. Et alors que notre nouveau frère se rebellait contre les demandes de Malya, la porte du porche et le reste du hall s’embrasaient eux aussi. Il ne m’avait pris que le temps de cligner les yeux pour voir si tout était bien réel pour comprendre ce qui se passait. Jirgo était doté d’un don. Le feu. Et ce n’était guère une bonne nouvelle car voilà que ça colère se décuplait, et que l’incendie faisait de même.

- Kath, attention, tu es à demi humaine ....

Même si mes sœurs avaient une ouïe surhumaine, je doute qu’à ce moment elles aient pu m’entendre pousser se soupir pratiquement silencieux entre mes dents. Je le savais ça. Que j’étais à demi humaine, à demi saignante, soit à moitié en danger. Et même si l’envie me prenait soudainement de me mordre moi-même question de remplir une bonne fois pour toute mes veines de se fichue venin qui ne voulait pas empreigner mon corps comme il l’aurait du, je m’arrêtais à la simple pensée et reculait de quelques pas. Ça aurait été idiot. Un suicide stupide pour combler ma jalousie envers ces êtres parfaits qui constituaient ma famille rapprochée. Puis ça aurait coupé court à toutes relations avec mon autre famille qui m’attendait dans la réserve voisine depuis près de trois jours…

- Si tu sors en dehors de cette maison, ta sœur risque de mourir, ainsi que Myllia.

La menace était claire. Enfin, presque. «Si tu sors, tu les tueras.» Ou bien, «Ils mourront» de mes mains ou des tiennent. Tout le monde ici s’en contre fichait pas mal. L’important c’était que tout le monde survive. Mais avant même d’avoir le temps de le dire, Jirgo était sortit en courant, utilisant sa pleine vitesse, trop rapide pour qu’on puisse se penser capable de le rattraper. Puis même d’ici, au manoir, là où j’étais resté à peine 60 secondes alors que mes deux sœurs étaient sortis en catastrophe, j’avais pu sentir la mort s’insinuer dans l’air.

Son odeur de chaire fraîche comme fumante qui se répandait dans l’atmosphère à la vitesse où le nouveau-né la vidait du sang qui la composait. La carcasse retombant dans un bruit mat, son cœur vidé, immobile, attendant qu’on vienne le bruler. Cas fait. Pouvoir du vampire.

J’étouffais un haut-le-cœur. La façon dont tuaient les vampires m’avait toujours un peu dégoutée. Me forçant à tenter de plus en plus, presque progressivement, à ne me nourrir que d’aliment humain. Chose vaine bien sûr, mais voilà que se que je venais de sentir et d’entendre venait de me couper un appétit sanglant de quelques semaines. Puis, j’avais l’habitude de chasser le puma avec mes sœurs, et je n’avais vu dans ma nouvelle vie Américaine, qu’une seule fois un humain mort entre des mains de marbre. Cette fois-ci, mon pacte de végétarisme venait d’être scellé à jamais. Le dégout l’emportant sur la soif.

Mais voilà que je n’avais plus le temps d’y penser. J’avais en premier lieu un incendie à éteindre. Chose plus ardue qu’on peut le penser. Si on pouvait penser les vampires au-dessus de toutes menaces physiques on ne devait pas oublier leur seul ennemi. Leur point faible. Le Feu. Et si je n’étais qu’à demi-vampire, on ne pouvait pas nier que le feu soit aussi grand ennemi d’humains. Je m’emparais donc d’une large couverture d’une lourdeur inouïe qui, dans les faits, ne pesait rien entre mes mains, et la jetais par-dessus le canapé en flammes. Elles se turent aussitôt. Pour la porte, les murs et une partie du plancher du hall je du aller jusqu’à utiliser la pomme d’une douche flambant neuve qui n’avait en fait jamais du servir. En l’espace de quelques minutes la villa était de nouveau à sèche.

S’en perdre une seconde de plus, je m’élançais au dehors. Il fallait que je les rattrape. Non pas pour me fondre dans une bagarre où ils avaient besoin de moi, bien au contraire je me savais bien mieux placer en dehors des batailles, mais pour prévenir mes sœurs de mon allé. Si, du manoir j’avais pu comprendre l’attaque du nouveau-né à Forks, il y avait de forte chance que le Quileute de garde aujourd’hui l’est sentie aussi. Et une confrontation ne serait pas la bienvenue. Vraiment pas. Accélérant donc encore le rythme je finissais par arriver sur la scène.

Jirgo se tenait là, les lèvres et le visage couvert de sang, les mains brûlantes. Le corps de la femme, de la victime reposait à terre comme s’il n’avait jamais exister. Et Malya, prête à agir tentait malgré tout de faire revenir le nouveau-né au calme avec Jena.

- Bien mangé ? Maintenant regarde moi et ne fait pas l'idiot. Ne devient pas un pire monstre. Je t'ai trouvé il y a trois jours, tu venais de te faire attaquer, et moi je t'ai sauvé. Je suis un vampire et tu en es maintenant un aussi, je t'en supplie ne te laisse pas mener par cet instinct qui te quémande de tuer tout ce qui possède deux jambes. Tu ne peu retourner chez toi dès maintenant. Tu le regretterais, car sans que tu puisses le contrôler, tu mangeras ta sœur et celle qui fait battre ton cœur, je t'en prie, ne fais pas la même erreur que moi, ne tue pas un être cher, tu t'en voudras pour l'éternité, c'est long, l'éternité.

Je cessais de respirer un instant, craignant une mauvaise réaction de la part de Jirgo. Mais Jena enchaînait déjà…

-Nous ne mangeons pas, nous buvons, mais pas du sang humain, du sang animal. Certains vampires tue les mortels pour se nourrir comme tu viens de le faire, mais ces gens sont cruels et sans pitié. Ils ne pensent qu’à se nourrir, alors que nous, nous ne sommes pas comme dans les légendes. À toi de choisir si tu veux tuer tes amis et ta famille ou peu être même les brûler à ce que je vois.

Doucement, sans me départir d’un calme faux mais pratiquement opaque je m’avançais vers le petit groupe et, subtilement, je déposais ma main sur l’épaule de ma sœur en prenant la parole. Il aurait mieux valu que Jena fasse de même. Le don de Malya était un fabuleux atout lors de discussion de pré bataille. Il nous permettait de faire un peu comme ces loups qui s’échangeaient tout le contenu de leurs pensées sans même qu’on puisse le deviner. Et pour le moment, Jirgo était assez furax pour qu’il ne faille pas l’agacer d’avantage. Pour dériver l’attention alors, je m’adressais au nouveau-né directement en tentant quasiment pas vainement de le regarder droit dans les yeux. Mais ses pupilles d’un rouge sang bleuté de noir me terrifiaient presque… Me rappelant mon contact avec ma sœur, je ravalais mes pensés et prenait parole.

-Écoute Jirgo, on peut toute comprendre ta soif, ta rage, ton envie folle de sang. Mais il y a nombre et nombre d’autres moyens de se nourrir que par tuer les êtres de la race auquel tu appartenais il n’y a de ça qu’à peine trois jours. Nous nous abreuvons de bêtes et d’animaux qui mourraient de toute façon, tués par la nature insensible à leurs vies. Puis, si tu es devenus de nôtre aujourd’hui, si tu es un mythe dont l’éternité commence dès l’instant, il te serait peut-être utile de savoir que nous ne sommes pas seul à faire notre loi ici. D’autres créature seraient prêtes à t’arracher tous les membres un par un jusqu’à ta perte pour avoir simplement tué cette humaine. Il vaudrait mieux pour toi et pour nous tous aussi de ne plus t’attaquer à des humains.

Tout en parlant, je pensais du plus fort que je le puisse au scénario où déjà d’autres auraient compris la venue d’un nouveau-né et d’une première mort d’humain à Forks. Les loups, en premier lieux. Valait-il mieux les appeler ? Faire comprendre le non-sens à Jirgo par la peur. Ou cela ne ferait-il qu’accroître sa furie et décupler ses forces déjà immenses ? D’autres vampires aussi étaient peut-être maintenant au courant. Ils l’avaient sentie eux aussi ? L’Odeur de la chaire contre les crocs d’un nouveau-né ? Et s’ils s’en venaient ? N’encourageraient-ils pas Jirgo à sombrer du mauvais côté ? Dans ce cas peut-être la protection lupine serait la bienvenue ? Ou attirerait-elle déjà trop l’attention ? Il valait peut-être mieux de juste rentrer de force avec Jirgo… Mais encore là comment ? Avec le Feu sur ses mains…

Le flot de questions m’assaillit alors que je ne faisais que me demander comment devrait tourner la situation. J’ignorais si Malya suivait tout de ma pensée mais j’espérais que oui, enfin, j’espérais qu’elle nous éclaircirait surtout. Encore aujourd’hui, pour la énième fois dans mon existence, je sentais que la situation me dépassait largement. Sans me départir de mon masque de neutralité j’ôtais délicatement ma main de la peau glaciale de ma sœur.

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Ma rencontre avec Myllia, mon premier baiser lorsque j'étais jeune, ma première chanson. Ma première d'amour, ma première rencontre. Mon premier amour... Tout me revint en tête. Lorsque le flash termina, je tourna la tête vers le gros tat de cendre et me rendit compte de se que je venais de faire...

Je me tourna ensuite vers les filles qui se trouvait devant moi.

-QUE M'AVEZ-VOUS FAIT ??? COMMENT AVEZ-VOUS OSER GACHEZ MA VIE AINSI ? UN VAMPIRE VOUS DÎTES ? ET BIEN VOUS ALLEZ VOIR QUE VOUS AVEZ FAIT CECI POUR RIEN !

Je partit en courant, je ne savais pas où j'allais, ni se que j'allais faire, mais je savais une chose... Je n'allais pas rester avec eux.

Je cessa de courir quelque instant. Puisse que je mettais tout au feu, je m'arreta pour acheter des gants. Les premiers que j'achetais on prit feu. Je retourna donc vers le vendeur.

-Avez-vous des gants inflammable ?

Le vendeur m'en vendit une paire. Je venais de trouver où j'allais aller. Chez moi.

[Je m'en retourne dans mon topic de ma maison.]

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Je l'a flattais, je pensais à autre chose, lorsque je me rendit compte, QUE MYLLIA N'ÉTAIT PAS MYLLIA. Soudain, un envie me vint de remordre, de reboire, du sang du sang du sang. Heureusement pour les petites, j'avais envie de beaucoup de sang, pas de comme elles. Je sortit donc de ma maison, assoifé et déterminé.

Je filait à la vitesse du vent. Jusqu'à se que je sente le sang d'une humaine.

J'avais sentit assez rapidement son odeur. Pourtant se n'était que des vampires ici non ? Je cherchait donc l'humaine. Je sentait et je finit par le trouver. Je freina rapidement et m'arreta devant elle. Kathleen Spring. Je croyait qu'elle faisait partit de la famille des vampires aussi... Comment... Bref tout se qui importait c'était de pouvoir boir. BOIR BOIR BOIR BOIR BOIR ! J'avais soif de son sang et je l'humais à plein nez.

-Kathleen Spring, humaine ? C'est étrange pourtant, je croyais jamais que j'allais te boir au complet le corps ma chère.

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-Kathlynn Springs, humaine ? C'est étrange pourtant, je croyais jamais que j'allais te boire au complet le corps ma chère.

Je frissonnais. Au fond, je savais qu'on en viendrait là. Ce nouveau-né droit devant moi, me fixant de ses pupilles d'un rouge plus éclatant que jamais, humant mon odeur avec délice comme s'il faisait face au plus appétissant buffet qu'il n'est jamais vu. Déglutissant, je retenais ma respiration, mon esprit me tiraillant. Devais-je répondre ? M'enfuir ? Combattre ? Je concentrais d'abord toutes mes forces à garder mon calme. Mon sang froid.

Mais je le sentais trop bien. Autant que lui. Ce liquide de chaire et d'eau qui coulait sous ma peau en la brûlant. À l'instant, inondé d'adrénaline, j'ignorais s'il pouvait aller encore plus vite qu'il n'y allait déjà. Je respirais un bon coup. Un autre. Rien ne parvenait à me calmer. Vibrante de tension alors, je levais mes yeux dorés et les plantais dans les rubis de Jirgo.

«Réfléchis Jirgo. Tu sais bien que tu peux contourner cette envie...»

À l’instant, si j’avais eu une gouttelette de ce dont je n’avais point, du courage, j’aurais peut-être trouvé la force de me défendre par la seule puissance que j’avais, les mots. Mais évidemment, une fois de plus devant un danger mortel, je me retrouvais complètement démunie et je m’enrageais moi-même. De toute façon, je doutais que des simples paroles pourraient stopper la soif ardente du nouveau vampire. Et j’avais beau espérer que oui, je n’allais même pas tenter ma chance. Il me fallait me défendre. Je sentais son envie grandissante et son attaque qui s’en venait. Je fermais les yeux et me concentrait. J’ignorais ce que je faisais, mais sans plus pouvoir expliquer pourquoi que plus tôt, je sentais ma partie vampire prendre doucement mais sûrement la place, plus de place, aujourd’hui. Je laissais donc le peu d’instinct que j’avais me guider. Au fond, c’était bien fait pour ça un instinct non ? Survivre…

…

Les scènes s’entrechoquèrent de nouveaux. Pour la deuxième fois depuis mon arrivée en Amérique du nord, il y avait de cela près de 5 mois, je revoyais ces coupures de temps dans un déroulement étrange, comme insaisissable, sans pouvoir comprendre exactement ce qui m’arrivait.

La première, c’était clair, c’était moi. Mon bras, enfin. Ma main. Posée sur l’arrière de l’épaule de ma sœur, Malya, où je l’avais touchée plus tôt pour lui passer un message mental. Pourtant, n’émanait de ce contact qu’une faible énergie. Une simple chaleur. Et voilà que je cherchais où le message que je lui avais pensé était. Puis la vision se télescopa sur un focus de ma main, à plat contre le tissu du haut de Malya. Ça avait été vain.

Mais je n’eux pas le temps de contempler mon erreur plus longtemps. Une autre scène se fichait dans ma vue. Un homme. Un Vampire. Jirgo. Grand, froid, beau. Comme chacun des nôtres se doit d’être. Un éclat d’un rouge étincelant dans le regard. Il n’eut pas le temps d’esquisser un geste que le décor coupait de nouveau.

Encore cet homme alors ? Non. Ce garçon plutôt. Un peu plus petit. Un peu plus mince. Beaucoup plus chaud, plus faible. Comme une version rapiécer de la première. Enfin, voilà. Je le reconnaissais. C’était en fait la première version. Jirgo il y avait de cela trois jours. Je me concentrais sur cette scène. Je me concentrais sur les envies palpables pour moi à présent, de ce Jirgo qui agonisait par terre, après l’attaque d’un loup.

Et il n’y avait rien. Rien qu’une envie d’achèvement. De coupure. Pour qu’enfin la douleur cesse. Évidemment devenir un vampire n’étais pas indolore mais… Aucune trace de sang au fond de son esprit. Je saisissais ce fait. Je le tenais. Je l’avais entre mes mains le balançant d’un doigt à l’autre avec une étrange impression de jubilation. Comme si j’avais finalement trouvé ce que je cherchais depuis une éternité.

Puis ça coupait derechef. Mais cette fois-ci, je n’eux même pas à songer quelle était la scène devant moi. Car c’est mon visage de terrorisée, les yeux clos, et un air forcé, que je vis à travers les yeux de Jirgo. C’était étrange de croire que j’étais comme dans sa tête. Mais je ne pris pas compte de mes sensations et je laissais simplement tomber le précieux non-désir que je tenais contre moi. Pourvu qu’il puisse bien le sentir aussi. S’il vous plait…

…

Quand j’ouvrais les yeux, tout étant fini, et le regard de Jirgo me transperçait toujours autant. J’ignorais tout à fait ce qui venait de se passer. Comme si j’émergeais d’un rêve avec le simple souvenir d’avoir vu des images, sans pourtant me souvenir de celles-ci clairement. Tout ce qui me venait en tête était que celui qui s’apprêtait à me vider de mon sang venait de recevoir un léger contact, et que s’il lui restait un minimum de volonté il saurait peut-être combattre son envie de sang. Son envie de mon sang.

Pourtant j’ignorais si un nouveau-né pouvait encore avoir une volonté autre que celle de s’abreuver.

-Tu es sauvé, Jirgo. Tu vis. Et ne t’inquiète pas, il y a nombre de recettes qui sauront étancher ta soif. N’en fait pas une de moi.

Je n’étais pas suppliante. Je ne cherchais pas sa pitié. Je savais qu’il n’en n’aurait pas. Je voulais simplement attiser le petit feu que j’avais allumé doucement au fond de son crâne il y avait de cela qu’à peine quelques secondes. J’ignorais toujours autant ce que j’avais pu faire. Mais étrangement, je me sentais en plein pouvoir de cette capacité étrange à chercher-trouver des indices dans le présent clos, pour sauver le futur proche.

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Étrange la sensation que me procurait le plaisir de voir la peur dans les yeux d'un...vampire ??? Étais-je vraiment sur le point de boire le sang de Kath Spring ? Une des plus belle femme Spring... Mais l'envie succomba. La bonne pensée disparue et la mauvaise refit son apparition pour la troisième fois aujourd'hui. J'adorais me souvenir la sensation de mes dents qui pénétrait dans la peau. J'inspira et sentit l'odeur que j'aimait tant.La voix de Kath retentit dans ma tête;

Réfléchis Jirgo. Tu sais bien que tu peux contourner cette envie...

Oubliant qui j'étais, je regardait ma proie qui fermait les yeux durant un court laps de temps. Pendant ses quelques secondes, je sentit quelque chose ou quelque chose entrer en moi. La rage fit place dans mon coeur et l'envie était plus intense que jamais, se qui prit prise de mon corps et de mon esprit. Le sang de Kath Spring, semi-vampire, semi-humaine.

-Moi qui croyait que tu faisais partit de la famille. Comme s'est dommage, tes soeurs ne pourront intervenir. D'ailleur, où sont-elles ? Oh et aller laisse tomber, je m'en fiche.

Je me rendit en quelque millième de secondes devant elle. Ma main droite ganter caressa sa joue. MMMM elle avait tant l'air appétissante... J'en salivait. Mais j'adorais la regarder souffrir... Allait-elle souffrir si je ne faisait que la mordre ? Non je n'allais pas risquer de perdre la semi partie humaine de Kath pour m'amuser... Et si je lui cassait un doigt, allait-elle souffrir ? Oui ! Elle avait un fond d'humain, alors elle sentait la douleur ! Tant qu'il n'y avait pas de sang, je pouvais jouer avec elle. Mais son sang dans mes narines allait peut-être réussir à faire le dessus. Mais pour l'instant, je n'avais envie que de jouer avec elle.

-Tu sais à quoi je pense ?

J'accota mon nez dans son cou et prit une bouffer d'air.

-Comment pourrais-je te faire du mal ? Et tu sais quoi ?

Je l'a regarda à quelque pouce de son visage et déposa mon front contre le siens.

-Je crois que je vais te casser un doigt par un. Je vais jouer un peu avec toi. Ensuite, lorsque je n'aurais plus d'idée pour te faire souffrir, je boirais tout le sang de ton corps de vampire-humaine, goutte par goutte. Qu'en dis-tu ?

Pendant un instant, je vit des images.

Myllia, le jour où je lui ai avouer mon amour dans une chanson. Le tempo me revint en tête... L'image de Myllia disparue pour faire apparaître celle d'Émillie et d'Eva. Puis, la voix d'une Spring résonna. Elle disait de penser à ma famille, à Eva et Myllia. Elles avaient besoin de moi. Je vit mon premier baiser de jeunesse. La seule fille qui m'a brisé le coeur et qui en avait eu le temps. Je vit tout les larmes que j'ai fait couler. Je vit tout les peines que j'ai causés. Je vit, une part une, toute les filles dont j'avais jouer avec leur coeur. En avais-je un ? Que m'arrivait-il ?

-Tu es sauvé, Jirgo. Tu vis. Et ne t’inquiète pas, il y a nombre de recettes qui sauront étancher ta soif. N’en fait pas une de moi.

Mon coté bien refit surface durant quelques instants. Les instants durant, je recula et regarda Kath Spring. Je penchait la tête quelque peu... Puis, de l'autre coté. Mais le mal revint en prenant une inspiration. Un combat s'engagea. Le mal contre le bien. L'image de la femme que j'avais brûlé, les Springs, la fille qui m'avais sauvé, Sylann, Myllia, Isabella, Eva, Émillie. Je sourit, le crit qu'avais pousser la femme me fit rire. Se que je ne me rendais pas compte, est que les images qui défilaient dans ma tête, défilaient en vraies images devant Kath aussi. [Pour te laisser une chance loll] Des recettes avait-elle dit ? De quoi voulait-elle parler ? Le mal prit contrôle de moi assez longtemps pour que j'ai le temps de lui casser le petit doigt.

Sujet: Re: Manoir Springs Sam 28 Nov 2009 - 1:52

Je suivais la trace de Jirgo, sa trace assassine, avec mes sœurs quand je me rendis compte que Kathlynn n'était plus des nôtres. Où était-elle ? Puis j’eu une pensé pour Jirgo et l’image de lui s’abreuvant de ma chère sœur à demi humaine… Non ! Je pris donc le bras de Malya histoire de l’avertir en pensant à cette image atroce, la lâchait et faisait demi-tour cherchant l’odeur de Kath ou de son proche assassin. Je courais pendant un bon deux minutes avant de voir mon nouveau frère casser l’un des doigts de ma douce Kath. En furie, je m’approchais de ceux-ci en me contrôlant pour ne pas envoyer Jirgo au sol après son geste, si je me battais avec lui, je risquais de perdre puisqu’il était nouveau-né. Oui, Kath était là, mais son côté humain me faisait redouter que l’on puisse battre notre frère.

-Bravo, une victime de plus, une femme qui ne t’as rien fait, une femme qui était à ton chevet tout le long de ta transformation. La prochaine victime, qui se sera ? Ta sœur, ta copine ? Pense-y Jirgo, tu peux combattre ta soif, tu peux sauver tes proches, nous sommes toutes là pour t’aider, tu es en quelque sorte notre nouveau frère et tu verras, nous t’aiderons à combattre ce brûlement atroce que tu ressens dans ta gorge en ce moment, mais ne la tue pas, s’il te plait.

Oui, j’essayais encore de le raisonner, c’était pour le moment le seul moyen de se défendre tant que Malya ne serait pas à nos côtés, là, on aurait une chance.

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-Bravo, une victime de plus, une femme qui ne t’as rien fait, une femme qui était à ton chevet tout le long de ta transformation. La prochaine victime, qui se sera ? Ta sœur, ta copine ? Pense-y Jirgo, tu peux combattre ta soif, tu peux sauver tes proches, nous sommes toutes là pour t’aider, tu es en quelque sorte notre nouveau frère et tu verras, nous t’aiderons à combattre ce brûlement atroce que tu ressens dans ta gorge en ce moment, mais ne la tue pas, s’il te plait.

-La tué ? Non ! Je ne veux qu'une chose ! M'amuser avec ta soeur ! Vous faire souffrir quoi ! Après quoi, je la tuerais peut-être, mais pas tout de suite voyons ! Cela ne serais pas plaisant !

Un rictus sortit de ma gorge assoifé de sang. Mais il fut interrompu pas la voix d'une femme... Une voix étrangement familière qui me fit rapeller les mêmes images que tout a l'heure. Mais qui était-ce ? Je n'osait même pas me retourner puisse que je reconnu sa voix. Myllia ! Non ! Il ne fallait pas ! Résister, c'est se qu'il fallait ! Mais une odeur envahit la salle, en quelque seconde je laissa tomber la soeur Spring qui souffrait et me retourna en vitesse vers la nouvelle venue. Non 1 Jirgo ! Mais mon instinc était plus réveiller que ma tête ! Mes jambes avançais plus vite que mon esprit réfléchissait ! Un peu de bon sang Jirgo ! Non ! Pas Myllia ! Je voulu l'avertir de partir, mais mon instinc m'en empêcha ! Non ! Mais j'arrivais avant même de pouvoir m'en empêcher. Je renifla son odeur, encore plus suculante que la femme de tout à l'heure. Je tentais de lui montrer que j'étais devenu autre que moi même, dangeureux. Mais je ne pu. Il ne restai plus que Jena et Kathleen pour m'en empêcher.

''Kath, Jena si vous m'entendez, sauvez-la je vous en prit ! Faîtes moi mal comme vous voulez ! Mais aidez-moi ! Empêchez-moi de lui faire du mal ! Je vous en prit ! C'est la femme qui m'est le plus important au monde !

Je le pensait le plus fort que je pouvait. Peut-être que puisse que Kath a réussit a entré dans ma tête, allait-elle pouvoir m'entendre ? Je le pensait plus que jamais je n'ai pensé a quelque chose. Puis, je fermais mes yeux, je sentais mes dents éfleurer la peau de ma douce... Et plus fort je pensait que je n'allais pas réussir.

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[Trois page de World XD]

Après avoir été me promener dans la forêt, j'avais sentit le sang d'une personne que je connaissait très bien... Jirgo ! Il méritait de vivre malgrer tout les désastres qu'il avait commit dans sa vie ! Mais le sang se dissipa assez rapidement. Je me rendit alors compte qu'il était chez les Spring. Je me mit donc à courire tel un jaguar en chasse. Lorsque j'arriva sur la scène du crime, Tout se que je vit était un salon brûler et sans porte. J'arrivais donc trop tard. Je frissona, un mort a Forks ? Non ! Je me pencha sur le divan et huma une odeur étrange... L'odeur d'un nouveau né... C'est alors que je comprit que Jirgo avait été transformer... Mon Jirgo ? Étrange pourtant, je croyais qu'il ne serait jamais tomber dans ses choses... Bref j'entendis alors la voix de mon ''ami'' :

-Kathleen Spring, humaine ? C'est étrange pourtant, je croyais jamais que j'allais te boir au complet le corps ma chère.

-Tu es sauvé, Jirgo. Tu vis. Et ne t’inquiète pas, il y a nombre de recettes qui sauront étancher ta soif. N’en fait pas une de moi.

-Moi qui croyait que tu faisais partit de la famille. Comme s'est dommage, tes soeurs ne pourront intervenir. D'ailleur, où sont-elles ? Oh et aller laisse tomber, je m'en fiche.-Tu sais à quoi je pense ? Comment pourrais-je te faire du mal ? Et tu sais quoi ?Je crois que je vais te casser un doigt par un. Je vais jouer un peu avec toi. Ensuite, lorsque je n'aurais plus d'idée pour te faire souffrir, je boirais tout le sang de ton corps de vampire-humaine, goutte par goutte. Qu'en dis-tu ?

-Tu es sauvé, Jirgo. Tu vis. Et ne t’inquiète pas, il y a nombre de recettes qui sauront étancher ta soif. N’en fait pas une de moi.

L'autre voix était celle de Kath Spring, la semi-vampire qui venait d'épouser un loup loup. Puis, j'entendis la voix de Jena :

-Bravo, une victime de plus, une femme qui ne t’as rien fait, une femme qui était à ton chevet tout le long de ta transformation. La prochaine victime, qui se sera ? Ta sœur, ta copine ? Pense-y Jirgo, tu peux combattre ta soif, tu peux sauver tes proches, nous sommes toutes là pour t’aider, tu es en quelque sorte notre nouveau frère et tu verras, nous t’aiderons à combattre ce brûlement atroce que tu ressens dans ta gorge en ce moment, mais ne la tue pas, s’il te plait.

-La tué ? Non ! Je ne veux qu'une chose ! M'amuser avec ta soeur ! Vous faire souffrir quoi ! Après quoi, je la tuerais peut-être, mais pas tout de suite voyons ! Cela ne serais pas plaisant !

Puis, la goutte de trop, j'entendit la voix de Myllia appeller a l'aide. C'est se qui me fit sortir de ma cachette. Se que je vit m'enragea. Jirgo ! Tu l'aime plus que tout au monde !! Que fais-tu ? Il avait étrangement l'air d'avoir les mêmes pensées que moi. Alors pourquoi ne reculait-il pas ? Pourquoi ne tentait-il pas de ne pas lui toucher ? C'est alors que je me rapella ma transformation, j'avais aussi eu beaucoup de difficulter a ne pas bouffer les gens ! Alors Jirgo, à nous deux ! Je n'était peut-être pas un nouveau né, mais au moins j'avais les même pensées, j'était un vampire, homme et j'avais vécu les même chose que lui. Jena était près de Kath, qui souffrait. Je me rendit compte qui Jirgo n'avait plus de conscience, je dut donc faire se qui était le mieu pour lui...combattre le feu par le feu. S'il ne réagissait pas à mes paroles, je n'aurais d'autre choix que de le combattre.

-Jirgo ! Voyons ! Ne fais pas cela ! Souviens-toi ! C'est Myllia ! La fille qui compte le plus au monde pour toi ! Te souviens-tu aussi ? Tu as deux petites filles qui t'attendent à la maison ! Retient toi mon vieux, nous sommes tous la pour t'aider !
Et comme je m'y attendais, Jirgo ne réagit pas. Il ne pensait plus, le nouveau-né ne faisait que vouloir se que tout les nouveaux-nés désiraient :

Le sang humain. [Je contrôle les deux pendant le combat si cela ne vous dérange pas bien sure parce que deux poste pour un, je trouve inutile mes cheres soeur !]

Le combat s'engagea, je lança Jirgo sur le mur derrière moi.

-Ne te rend tu pas compte de tout le mal que tu feras si tu ne te force pas Jirgo ? Retient toi au moins le temps que l'on t'apprenne a chasser ! Tu te rendra peut-être compte de tout le mal que tu fais ensuite !

Il tomba par terre, mais se releva assez rapidement et me colla sur le cadre de la porte brûlé. Il avait sa main qui m'étouffait, ses yeux démontraient que se n'était que son instinct qui le dirigeait et non son coeur et sa pensé. Que faire ? J'eu une idée.

-Te souviens-tu de moi Jirgo ? Ton meilleur ami, Sylann ! Te souviens-tu de Stuart Jirgo ? Ton stupide ami avec qui tu fesait des paris stupide durant les party de Cania ? Te souvient-tu de Bella Jirgo ? Bella, ton amour de jeunesse ? ''L'amour de ta vie'' que tu disait ? Celle que tu aimera pour la vie ? Et qui est morte ? Jirgo te souviens-tu de l'incident qui la tué ? Les parents t'avaient dit qu'elle s'était noyé dans la piscine ?

Son visage changeait déjà d'expression, le coeur et l'esprit reprenant le dessus sur tout se qu'il était il y a tentre seconde. J'étouffais, il m'étranglais. Mais je décida de continuer malgrer tout. Au pire, je serais mort en de bonne circonstance... La mort, quelle étrange sensation non? Allais-je mourrire ? Jirgo allait-il enlever son gant de la main droite et tenter son nouveau pouvoir sur son ami ? Je regardait justement cette main et confirma mon hypothèse, il désirait me tuer. Mais je continua, de peur de mourire avant d'avoir finit.

-Souviens-toi Jirgo, tes parents, t'en souvient-tu ? Ta mère t'adorais et ton père aussi d'ailleur, mais il ne pouvais pas te dire la vérité. Te souvient-tu que les gens t'on dit qu'ils étaient mort ? Et que de la façon que tout les gens te disait, tu douttais. Comme la journée où ils t'ont annoncé que Bella était morte. Et bien mon cher Jirgo... Tu ne sais rien de la vérité puisse que tout les trois sont mort d'un vampire. Et du même.

Sa main gauche désserra quelque peu son emprise sur mon coup, mais sa main déganter se rapprochait de plus en plus de moi. Puis, en quelque seconde, il me brula la jambe et je hurla de douleur. Je décida de finir mon histoire tout de même. Peut-être allait-il m'épargner ? La douleur quadrupla lorsqu'il monta sa main sur ma cuisse. Je sentit ma jambe tomber en entier.

-Jirgo ! Ne fais pas cela ! Tes parents sont mort en voulant te protèger ! Tu était le prochain sur la liste de Detferd ! Il te voulait ! Je n'ai jamais su pourquoi, mais il te voulais toi ! Bella, comme tu le... AARRRRGGGGGG... sais.... était....beaucoup plus intélligente.... que les autres....filles de son âge! AAAOUURRRRRRRR C'ÉTAIT UN VAMPIRE !!!!! À cinq ans, elle....elle... était un vampire !!! Magnifique vampire de cent trois ans !!! Elle... Elle a tenter de.... d'empêcher Detferd de t'assassiner ! AAAAAAARRRRROUUUUCCCCHHH Mais elle....elle n'a pas réussis... Det...Detferd, était plus forte qu'elle ! Il l'a tué sauvagement ! Tes...tes parents.... étaient au...au courant de... l'existance...l'existance des vampires... ils...ils m'avaient...m'avaient charger de... de m'occuper... m'occuper de toi... Ils...Ils savaient... qu'ils allaient se faire bouf...bouffer tout rond ! Alors je...je t'ai suivit...depuis...depuis leur mort ! Detferd... Ne t'a...jamais... jamais retrouver !!!!!

Je hurla de douleur, le feu se promenait sur mon corps lorsque tout à coup, Jirgo me laissa tomber et recula, appeuré par ce qu'il venait de faire. Moi je cessa de hurler, même si le feu continuait de m'embraser doucement. Je vit Jirgo s'asseoir près de moi et me parler. Il me disait qu'il était désoler, mais qu'il ne savait pas comment faire pour me sauver. C'est alors qu'il se tourna vers Kath et Jena :

-Je vous en prit, sauver le !!!!

[A vous de jouer les filles, mais je désire rester en vie je vous prit XD J'en avait rat le bol de vouloir bouffer tout le monde !]

Sujet: Re: Manoir Springs Lun 4 Jan 2010 - 22:15

J'étais longuement rester devant les cendres de la femmes qu'il avait tuer si sauvagement. Me souvement moi-même d'avoir tuer la personne que j'aimais le plus au monde, ma nounou, celle qui m'avait servit de mère pendant de longues années. Jamais je ne pardonnerais un tel geste, horrible et sanguinaire. Pourquoi nous poussait-on, nous, les vampires, à tuer sauvagement des êtres si semblables à nous, seulement pour étancher notre faim, notre soif. C'était injuste, dégueulasse. En sauvant Jirgo d'une mort certaine, j'avais pensé épargner des vies, j'avais pensé que j'était assez puissante pour l'empêcher de tuer et l'emmener vers le droits chemin. Mais j'avais eu tort, et ma bêtise avait déjà coûter la vie de trop d'humain sans défense.

Une panoplie de vieux souvenir que je croyais enterrer au plus profond de mon être ressurgir. Je me pliai en deux sous la force des émotions qui m'envahissait. Je ressentait à nouveau toute la douleur qui m'avait assaillit lorsque j'avais réaliser ce que j'avais fait. Lorsque mon instinc fut calmé et que je m'étais retrouver devant le corps de ma nounou, de cette femme courageuse qui m'avait élever et protéger d'un père violent et brutal. C'était une manière très injuste de la remercier. Toutes ces noires pensées paralysaient mon être, m'empêchant de penser convenablement. Je gardais mon regard fixer sur le désastre devant moi. Le fait que le meurtrier venait de filer avec ma soeur, ne me pertuba même pas. Mon cerveau était comme tournée à off, ruminant des sauvenirs d'une douleur physique.

Ce qui me sauva, fut lorsque Jena effleura mon bras pour me prévenir que Jirgo s'apprêtai à tuer ma Kathlynn. JAMAIS. Jamais tant que je vivrais je ne laisserais une tel chose se produire, jamais je n'accepterais de perdre une autre personne qui m'était cher. Mais pourtant je ne bougeait pas. J'en était incapable. Puis soudain ma pensé fut casiment remplacer par celle de Jena et éclypsa mes souvenirs douloureux, les renvoyant dans un tirroir profondément enfoui dans ma tête. Je me remis à penser normalement et je compris l'empleur de la situation. Jena avait déjà filer. J'entendais les doigts de Kath craquer, casser. Un frission d'effroi et de colère montai en moi. Je me levai brusquement et sans un regard pour les cendres de la femmes, je déguerpie.

J'endendi le cris de Myllia qui appelait à l'aide. Non, non, pas elle, j'aimais beaucoup cette humaine et puis, je savais que Jirgo allait le regretter toute sa vie, toute l'éternité, et , c'était long , l'éternité. Cependant bien avant que je n'arrive à destination, je réalisa qu'un nouvel individu s'était ajouté au conflis contre Jirgo. Sylann, il venait de sauver Myllia d'une mort certaine. Merci Sylann.

J'arrivai enfin sur les lieu , après de longues secondes interminables. Le spectacle devant moi m'horrifiat. Deux ami se battant. Deux être qui s'aimait se déchirant, l'un pour tuer, l'autre pour protéger. Je visa Sylann prendre en feux, soudainement. Jirgo avait de grands pouvoir. Cependant pour tuer un vampire il fallait qu'il flambe. Sylann n'était pas mieux que mort et lorsque Jirgo revint à lui, nous suppliant de l'aider, pour la première fois de ma longue vie, je ne sus que faire. Sa jambe était partie en fumer, son corps brulait, se tordait de douleur. Devais-je l'arroser ? peux être. Mais comment ?

- Jirgo, écarte toi, Jena, Kath surveiller le, Myllia ...

Je m'élança vers elle, l'écartant rapidement du brasier. Je voyais la panique et l'incompréhension dans ses beux yeux. Tout n'étais peut-être pas perdue. Après tout il ne l'avais pas démambré. J'appercu par la fenêtre la ose qui servait à arroser le jardin. Je sauta par celle-ci et en vitesse l'ouvrit. L'eau en giclait. Revenant rapidement au milieu des décombres j'aspergeait Sylann d'eau, essayant de sauver toute les parties de son corps qui étaient encore viable. Le feux diminua, puis s'arrêta. Jirgo, par terre, semblait dominer son instinc, mes soeurs à ses côtés le retiendrait j'en était certaine. Mais Myllia, dont le sang dégageait une odeur si alléchantes pour nous tous était un problème. Elle pourrait à elle seule réveiller nos 4 instincs. Je sentais son sang couler d'une petite grafigne.

- Myllia, court, court et ne retourne pas, rentre chez Jirgo et va retrouver la petite. Je t'expliquerais plus tard, n'est pas peur et court.

[ bonn jirgoochouu lahh, faudrait que tu essai de pas trop retrouver ton instinc =P et heuu, j'sais pas quoi faire de Sylann, il lui manque une jambe ? elle repousse ou il devient infirme ? ]

Invité

[Il devient infirme, une jambe en moins, sa va être drôle !]

Les filles me reculèrent et là, tous devient flou. Je sentit une odeur plus qu'intense, plus que jamais j'avait envie de quelque chose qui s'averra être le sang de Myllia. Les Spring me retenait de leur possible, moi aussi d'ailleur. Je tentais de ne pas respirer son odeur, mais malgrer moi, je croyait que mes poumons n'allait pas tenir le coup, ne sachant pas encore que le beosin de respirer n'était plus chez moi. Puis tout d'un seul coup, mon instinc refit surface. Le sang de Myllia était plus fort que jamais dans mes narines de nouveau né.

L'amour peu autant être le plus beau rêve que l'on fait, il n'en reste pas moins que c'est une maladie et que l'on peu en souffrir.

C'est se que ma mère me répettait sans cesse avant sa mort. Je poussait sur les mains des deux Springs, mais mon instinc d'humain était encore assez présent pour me pousser encore plus que celui de vampire qui sentait le sang si délicieux de Myllia. Puis je vit Sylann par terre, jambe manquante. Retient toi Jirgo ! Regarde se que ton instinc à fait ! Puis j'entendit Malya dire à Myllia de s'enfuir. Bonne idée ! Mais mauvaise à la fois car j'eu un sentiment étrange. Mes yeux passèrent du noir-rougeâtre au or pur et simple que l'on voyait dans les vampires végétariens comme les Springs. Je leva mon regard sur Myllia. Puis je le tourna vers Malya qui semblait me regarder, puis je regarda Sylann qui souffrait le martyr. Oh Sylann comme je suis désoler de t'avoir fait subir cela ! Je cessa ma poussée sur les soeurs qui tentaient de leur mieu de me retenir. Je répugna de me souvenir se que j'avais fait aujourd'hui, j'avais tué une femme, jamais...bu...son sang. Un haut le coeur m'apparut en m'imaginant a boir le sang d'une personne. Lorsque je prit une bouffer d'air, je ne sentit même plus le sang de Myllia. Enfin ! Je suis délivrer pour au moins quelques instants de cette instinc animal qui m'avait prit possèsions durant cette journée si éprouvante.

Invité

Je souffrais, mais je souriait, j'avait réussit a faire revenir Jirgo à lui et cela, je crois que cela venait de me coûté une jambe dans le sens propre du terme ! Mais qu'est-t-il mieu d'après vous ? Ne rien perdre mais recevoir des meurtre partout dans la ville ? En incluant de perdre Jirgo ? Sa pas question ! Et perdre sa jambe mais aucun meurte et Jirgo revient à lui même ? Je sentit une odeur, une très bonne odeur, j'entrentendu le sang de Myllia couler.
[On a décider que tu t'était couper XD]
Je sentait mon corps consumer sous les pouvoirs de Jirgo. Puis quelque chose de froid s'étendu sur moi. Peut-être était-ce cela la mort... Au moins j'aurait eu le temps de dire au Springs qui était le véritable Jirgo et pourquoi agissait-il ainsi maintenant... Non ! Il n'était pas question Je résista et me rendit compte que c'était de l'eau qui s'était rendu sur moi. C'était donc qu'une personne s'occupait de moi. Après tout, peut-être allais-je survivre !
[Désoler, pas d'action, mais il fallait que je poste pareille XD]

Sujet: Re: Manoir Springs Mer 6 Jan 2010 - 1:07

Je comprenais sont côté sadique puisque tout vampire était doté de ça. Surtout les nouveaux nés, sauf que ce que Jirgo ne comprenait pas encore c’était qu’il était possible de refouler, du moins un peu, cette chose-là. Quand j’entendis Myllia, mon corps fut courut de panique. Pas elle! Pas une humaine! Pas sa copine! Et en deux secondes bien sûr, Jirgo avait lâché Kathlynn pour s’attaquer à l’amour de sa vie. Une erreur fatale qui, je le savais bien, lui-même ne pouvait pas empêcher vu son état. Il fallait arrêter Jirgo avant qu’il ne fasse quoi que se soit à Myllia…

Puisque Jirgo avait lâché ma sœur je l’avais emmené un peu en retrait, derrière moi. Mais même pas le temps de dire un mot que Sylann, se pointait dans le décor. Lui? Ici!? Je me rappelais qu’il connaissait Jirgo et peu être pourrait-il le résonner. Il se tenait devant Jirgo essayant de le raisonner comme un super héros avant d’attaquer le méchant. Ah!... ‘’Non Jena! Ce n’est vraiment pas le temps de divaguer! Reprends-toi!’’ Et maintenant qu’il était là, je m’étais retourné vers ma sœur en essayant de l’aider de mon possible tout en restant sur le champ de bataille, ne voulant pas laisser Sylann seul contre un nouveau né. Puis bien sûr, le combat éclata. Sauf que je ne pouvais agir, je devais rester au près de ma sœur, mais en même temps… Bref, je restais là, en ayant honte de ne pouvoir bouger, de ne pouvoir aider! Puis quand la jambe de Sylann pris feu, je me mis à vouloir crier, mais aucun son ne voulait sortir alors je ne pouvais que pleurer en sourdine, eh oui, ça fait pas mal impuissant hein? Et puis que vouliez vous que je fasse? Me jeter sur Jirgo et me faire brûler à mon tour? Je le savais, si je me jetais sur lui, il n’y aurait qu’un blessé de plus vu le pouvoir de Jirgo.

Aussitôt Myllia fut écraté de lui, je la ramenais vers moi, quand Malya arriva. Puisque le doigt de Kath était immobilisé, elle et moi nous sommes jetées sur Jirgo afin de le retenir selon l’ordre de Malya pendant qu’elle arrosait Sylann. Puis, une odeur vint à nos narines, une odeur de sang, l’odeur du sang de Myllia qui s’était légèrement coupé. C’est alors que Malya ordonna à la jeune humaine de s’enfuir. Nous étions sauvés! Mais ma joie se ternit quand mon regard s’arrêta sur ce vampire si courageux à qui il manquait maintenant une jambe. Je me sentais horriblement coupable.

Sujet: Re: Manoir Springs Mer 6 Jan 2010 - 20:46

J'avais à peine fini d'appeler que j'entendis un grand bruit, comme un tremblement de terre. Intriguée, je m'approchai de la porte et vit la scène qui se déroulait devant mes yeux. A vrai dire, je n'avais pas vraiment le temps d'analyser ce qui se passait, tout se passait extrêmement vite.
Sans que j'eus le temps de comprendre quoi que ce soit, j'aperçus une silhouette me frôler et s'écraser sur le cadre de la porte manquante, ce carde même que je venais de franchir. Je tournai la tête, et reconnut la visage de Sylann, étouffé par une main étrangère.
Celle de Jirgo.
Sous le choc, je reculai instinctivement d'un pas, usant de toute ma force pour empêcher mes genoux de se dérober sous mon poids.
Le premier coup passé, je relevai la tête, m'apprêtant à courir jusqu'à lui, Jirgo n'était pas mort! Mon cœur épris s'emballa d'un battement nouveau...
Avant de se glacer instantanément lorsque je comprit le détail qui clochait.
C'était Jirgo qui tenait Sylann, personne d'autre. C'était Jirgo qui le soulevait de terre, l'étouffant à moitié, les muscles tellement tendus et crispés sur sa victime qu'il ne semblait nourrir qu'une envie d'assassinat.
Mais Jirgo avait changé. Il était, légèrement plus grand que lorsque je l'avais vu pour la dernière fois et sa peau paraissait plus blanche. Elle était même d'un blanc ivoire, plus pâle que jamais, le même couleur que la peau des Springs, maintenant que j'y pense. Ses angles semblaient plus saillants d'ailleurs, et sa musculature plus formée. Il avait l'air de rayonner de vie, il semblait ne porter aucune blessure, être en parfaite santé. Il était plus beau que jamais. Enfin, beau, oui il l'était, il était magnifique, mais ce fait était atténué par le visage dur qu'il portait. Un visage blanc, presque fermé, où les seuls sentiments qui suintaient étaient la colère, la folie et l'envie de tuer. Ses traits crispés serraient ses lèvres en une mince fente où naissait un sourire cruel. Ses yeux étant pointés vers Sylann, je ne vis pas l'expression de son regard, mais je savais qu'ils portaient surement cette même envie de meurtre.
Mais pourquoi agissait-il comme ça?
Je vis alors les lèvres de Sylann bouger, il disait quelque chose mais il parlait trop vite et je ne l'entendais pas. Pourtant, j'étais à deux pas.
Je reculai légèrement. Instinct de survie inconscient. Mes mains, derrière moi en cas d'éventuel obstacle, je me coupa légèrement le doigt sur un bout de bois de la porte déchirée. Une légère coupure, rien de grave, je n'en avais de toute façon rien à faire.
Les paroles de Sylann ne semblant pas l'apaiser, Jirgo approcha sa deuxième main, je crus qu'il voulait le frapper. Cependant, sa main se posa doucement sur la jambe de Sylann. C'est à ce moment que sa jambe prit feu. Sa jambe prit feu et lorsque Jirgo toucha la cuisse de son ami, celle-ci prit feu à son tour.
Je fus tétanisée de peur. Ma vieille phobie. J'avais toujours eu peur du feu depuis l'accident de ma mère et aujourd'hui je restai paralysée par la peur. Je ne pouvais bouger un muscle, ni même remuer un cil.
Et Sylann brûlait. Il hurlait de douleur.
Encore une fois, il tenta sûrement d'apaiser Jirgo mais je n'entendais rien, il parlait beaucoup trop doucement. D'ailleurs, mes esprits embrouillés, mes oreilles s'étaient brouillées avec eux, et je n'entendais plus rien. Plus rien qu'un amas de cris.
Dans le reste de la salle, il y avait Jena. Elle ne savait que faire, elle hésitait, sûrement, se sentait impuissante et derrière elle, Kath, l'air profondément choquée. D'un coup, j'entendis un petit bruit, je tournai la tête. Jirgo s'était laissé tomber à terre, il parlait à son ami, toujours inaudible pour moi. Il avait l'air désolé. En une fraction de seconde, son regards croisa le mien.
Et là, je vis ce que j'avais raté depuis le début. Il avait les yeux rouges. Rouges, comme les monstres de la ruelle. Jirgo était-il un monstre lui aussi?
Son attitude me le confirmait assurément.
Encore une fois, je voulu m'échapper, reculer encore d'un pas, qui aurait pu m'échapper cette vérité cinglante des yeux. Mais j'étais toujours paralysée par ma peur première. Il fallait que je m'en aille. Que je m'en aille avant d'y croire, avant de me mettre à pleurer devant toute cette troupe désemparée qui n'avait sûrement pas besoin de ça. Mais mes jambes refusaient de bouger.
Jirgo était un assassin, il était bizarre, il n'était pas lui même.
Tout à coup, Malya apparut, en un éclair, sans que j'ai eu le temps de même cligner des yeux. Elle a apparut, comme ça, comme par magie, comme la première fois. Elle jeta un rapide coup d'œil et en une fraction de seconde, elle était à mes côtés. Une autre fraction de seconde, elle m'avait transportée légèrement plus loin. Sans que je m'en rende compte. Mes je n'étais plus à une bizarrerie près. Et puis de toute façons, je ne comprenais plus rien du tout. Rien de rien. Lorsque Malya m'ordonna de partir, je voulu dans un premier lieu protester. Puis je vis Jirgo plus loin dans la pièce poussant sur Kath et Jena, se battant, mon visage se durcit. De toutes façons je ne pouvais rien faire, seuls les gens de cette pièce semblaient pouvoir l'arrêter, et encore.
J'opinai de la tête et tourna les talons, courant presque jusqu'à la voiture. Je conduis aussi vite que je le pouvais, toujours en état de choc. Les filles étaient chez ma mère, je passerai les chercher demain matin, il était trop tard. Je montai jusqu'à la chambre de Jirgo.
Et là, je fondis en sanglots. En sanglots hystériques, ça faisait beaucoup trop d'émotions pour moi aujourd'hui. Totalement exténuée, par les péripéties et par les pleurs, je m'endormit comme j'étais, en boule sur le tapis, n'ayant pas eu la force de m'y hisser. L'odeur de Jirgo emplissant mes narines calma quelque peu mes soubressauts.
Je m'endormis, et je fis un rêve bizarre. Je rêvai des Springs, de Sylann, de Jirgo, se battant à mort, je rêvai de grandes flammes immense qui léchaient les murs, qui consumaient les gens sans qu'ils cherchent à se sauver. Et le feu prenait tout le manoir, moi aussi, j'étais tétanisée, et je brulai vive. Un cauchemard horrible, je faisais un cauchemars horrible.
Peut être demain je me rendrai compte qu'après tout, j'avais juste tout rêvé!

Invité

-Jirgo ! Voyons ! Ne fais pas cela ! Souviens-toi ! C'est Myllia ! La fille qui compte le plus au monde pour toi ! Te souviens-tu aussi ? Tu as deux petites filles qui t'attendent à la maison ! Retient toi mon vieux, nous sommes tous la pour t'aider !

L'image de mon meilleur apparut avant l'audio.

-Ne te rend tu pas compte de tout le mal que tu feras si tu ne te force pas Jirgo ? Retient toi au moins le temps que l'on t'apprenne a chasser ! Tu te rendra peut-être compte de tout le mal que tu fais ensuite !

Pouufff la vue sur Sylann se dissipa et apparut la famille Spring du moment.

-Te souviens-tu de moi Jirgo ? Ton meilleur ami, Sylann ! Te souviens-tu de Stuart Jirgo ? Ton stupide ami avec qui tu fesait des paris stupide durant les party de Cania ? Te souvient-tu de Bella Jirgo ? Bella, ton amour de jeunesse ? ''L'amour de ta vie'' que tu disait ? Celle que tu aimera pour la vie ? Et qui est morte ? Jirgo te souviens-tu de l'incident qui la tué ? Les parents t'avaient dit qu'elle s'était noyé dans la piscine ?

Sylann réapparut, se fesant étrangler par un Jirgo avec un instinc vampirique dangeureux. Puis, une vue sur Stuart, Cania, puis Bella.

-Souviens-toi Jirgo, tes parents, t'en souvient-tu ? Ta mère t'adorais et ton père aussi d'ailleur, mais il ne pouvais pas te dire la vérité. Te souvient-tu que les gens t'on dit qu'ils étaient mort ? Et que de la façon que tout les gens te disait, tu douttais. Comme la journée où ils t'ont annoncé que Bella était morte. Et bien mon cher Jirgo... Tu ne sais rien de la vérité puisse que tout les trois sont mort d'un vampire. Et du même.

Pour la première fois depuis leur mort, je les vit, en vie et avec un sourrire.

-Jirgo ! Ne fais pas cela ! Tes parents sont mort en voulant te protèger ! Tu était le prochain sur la liste de Detferd ! Il te voulait ! Je n'ai jamais su pourquoi, mais il te voulais toi ! Bella, comme tu le... AARRRRGGGGGG... sais.... était....beaucoup plus intélligente.... que les autres....filles de son âge! AAAOUURRRRRRRR C'ÉTAIT UN VAMPIRE !!!!! À cinq ans, elle....elle... était un vampire !!! Magnifique vampire de cent trois ans !!! Elle... Elle a tenter de.... d'empêcher Detferd de t'assassiner ! AAAAAAARRRRROUUUUCCCCHHH Mais elle....elle n'a pas réussis... Det...Detferd, était plus forte qu'elle ! Il l'a tué sauvagement ! Tes...tes parents.... étaient au...au courant de... l'existance...l'existance des vampires... ils...ils m'avaient...m'avaient charger de... de m'occuper... m'occuper de toi... Ils...Ils savaient... qu'ils allaient se faire bouf...bouffer tout rond ! Alors je...je t'ai suivit...depuis...depuis leur mort ! Detferd... Ne t'a...jamais... jamais retrouver !!!!!

N'étais-je pas en trein de devenir un monstre comme ce Detferd? Celui qui a tuer, assassiner mes parents et ma Bella? Étais-je en train de devenir autre que Jirgo? Allais-je mettre en danger mes proches? Ma soeur, Eva, ma quasi soeur Émy et mon âme soeur, Myllia? Non! Jamais! Je devais me contenir, fais revenir Jirgo en vie et effacer à jamais l'instinc vampirique la plus dangeureuse que j'ai connu. Je revit la femme que j'ai brûler et but. Kath Spring que j'ai fait souffert et Myllia à qui j'ai faillit faire du mal, grâce à dieu, mon meilleur ami étais intervenu a temps... Mon meilleur ami... Sylann... je venais de lui faire perdre une jambe... Mais encore là grâce à dieu, Malya était intervenu. J'écarta les mains puissantes des deux Spring pour m'accroupir près de Malya et Sylann.

-Il va survivre?

Le Jirgo d'avant était revenu.

Sur la remarque intelligente de Sylann, j'ai déplacé le rp avec Jena dans la maison de Jirgo et supprimé les messages ici! Bonne Journée!!!

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