Par ici mon chéri...[PV Vince]

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Loin ! Loin ! Le plus loin possible de cette parodie de bagarre dramatique qui se déroulait dans mon dos ! Pitié laisser moi fuir cette scène risible où ces adversaire plus fendant et incompétants les uns que les autres s'affrontaient pour une stupide question de chasse. Mais aussi près ! Très près ! De plus en plus près du demoiseau qui venait de s'enfuir sous prétexte d'être assoiffé. Moi aussi je l'étais. Assoiffé de lui donner la racler du siècle pour avoir été si imbécile !

Maudit soit cette Lydie et ses airs de gamine prête-à-porter ! Non, Vince était plus doué que ça, s'il c'était permis de lui en voler un peu il m'aurait étonner qu'il soit vraiment tomber dans panneau. Surtout pas avec moi dans tableau ! Enfin, j'espérais bien pour lui. De toute façon c'était vers lui que je m'enfonçais dans cette épaisse forêt pluvieuse et dégoulinante.

Mes cheveux d'un noir de jais, mes pupille rouge vif et les traits doux de mon habituel visage devenus anguleux et sourds. Je devais certainement faire un peu peur, mais c'était tant mieux ! Et ce n'était sûrement Vince que j'allais effrayé par mon pouvoir... Surtout qu'en cette nuit, c'était une bonne chance que la lune soit presque pleine puisque les nuages étaient lourds et épais et je peinais à extraire assez de lumière pour couvrir mon physique de mon aura de colère. Je fulminais enfait, mieux valais qu'il s'en rende compte...

Enfin ! Le voilà ! Je sentais finalement sa trace à quelque centaines de mètres de là. Il chassait quelque chose comme un gros ours. Un truc du genre. Dégoutant... ! Mais bref, je fonçais vers lui sans même attende qu'il termine de vider sa victime. Non, j'accelerais encore mon allure et finissait par l'atteindre. Il n'avait pas du me sentir avant, le nez dans le sang il n,avait pas du sentir grand chose d'autre enfait...

Sans me soucier du reste je l'empoignais durement par les épaules et jouant sur l'effet de surprise je le plaquais au sol avec froideur et me penchais au-dessus de son oreille. Respirant difficilement, je sillais et lui murmurait mon venin qui je l'espère, il arriverait vite à tarier. Sinon c'était claire j'allais l'égorger !

-Je te jure que je vais t'arracher la tête !

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Que c'était bon ! Ce liquide bienfaisant qui coulait dans ma gorge, soulageant la brûlure de la soif. C'était comme un baume. Un homme assoifé dans le désert aurait autant aimé l'eau de l'oasis que le sang de cet ours pour moi. Je n'avais pas eu de difficulté à trouver cet animal. Il était certes imposant, mais la vitesse lui manquait. Il se déplacait donc lentement et ma vitesse eu raison de lui. Je m'étais approché doucement, en marchant, vers lui. Tout de suite, il s'était sentie en danger.

Se levant sur ses pattes postérieurs, il avait pensé que tout ce petit manège allait m'effrayer. Mais il ne savait pas qui j'étais. Et c'était sûrement mieux ainsi. Alors c'est à ce moment que j'ai bondi, la plaquant au sol pour ensuite mordre dans le creu de son cou. Le liquide divin se glissa alors rapidement dans ma gorge. Alors je m'abreuvais avec plaisir. Étrangement, depuis mes jours et nuits ainsi que ma rencontre avec Becky, on aurait dit que je me dégoutais moins. Comme si j'avais enfin compris que s'abreuver était essencielle. C'est pourquoi je m'abreuvais de cet animal avec autant de..Plaisir ? Peut-être bien.

Peu à peu, je sentais que l'ours qui se vidait de son sang. Évidemment, l'ours était énorme. Ce pourquoi, ma soif était totalement assouvie. J'avais alors complètement vidé l'animal, que je sentie quelque chose me prenant par les épaules et me plaquant au sol. Ce ne pouvait être qu'un autre vampire. N'ayant pas encore vu celui ou celle qui m'avait plaqué au sol, un grognement rauque roula au fond de ma gorge pour enfin sortir et se répercuter au plus profond des bois. C'est alors que je vis mon assaillant. Becky. Un sourire étira alors mes lèvres et mon visage se détendit. Elle était différente pourtant. Son pouvoir sûrement. Mais pourquoi l'utilisait-elle envers moi ? C'est alors que je compris, quand elle me siffla à l'oreille sa menace. J'en souris encore plus. Refermant mes bras autour de sa taille, je la coinça entre mes bras d'aciers. J'approcha alors mon visage près de son oreille.

- Alors, c'est la revanche de la victime ? dis-je d'une voix suave et mielleuse comparativement à ses sifflements.

Je me rappela alors l'existence de mon don. J'étais calme et amusé. Bientôt elle devrait l'être à son tour. Mais étrangement, je m'amusais à la voir en colère et complètement jalouse. C'était un comportement complètement irespectueux, mais comment ne pas être amusé de voir sa bien-aimé être complètement jalouse pour rien ?

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Il trichait ! Il trichait ! Je rageais interieurement en sentant son humeur s'imiser dans la mienne et ma foi de malheure disparaître par tous les pores de ma peau, remplacé par une joie amusé qui ne faisait pas du tout mon tempérament. Mais lui alors ? Rieur ainsi j'aurais du lui en vouloir encore plus mais son calme l'emportait sur ma furie et bientôt je me sentais presque Zen. C'était à en perdre la tête ! Je devais être fâchée. Je devais être fâché. Je devais...

Ah et puis ! Soit il gagnait, soit les nuages étaient finalement trop épais, mais voilà que je blondissait à vu d'oeil. C'était aussi un peu fâchant, mais étant donner que Môssieur était là, moi je devais tenter seule de prouver mon indépendance d'esprit habituelle. C'était tout sauf juste ! Je lui en ferais le commentaire quand j'aurais un jour peut-être la tête à ça. Mais voilà qu'au moment il me tenait fermement par la taille, m'obligeant à rester serrée contre lui malgré les efforts que je déployais pour m'extraire de son étreinte.

Mais je glissais tout doucement. Ça m'énervait. Je sentais mon état d'esprit shuinter jusqu'au siens pour y calqué ses vibrations. Je me sentais taquine. Rieuse. Amusée à un point très haut. Et je savais que c'était parce qu'il l'était. Et ça avait le don de me mettre en rogne. Sauf que j'étais incapable de me mettre en colère de nouveau, prise au piège de l'esprit de Vince. Au bout d'un long moment où nos deux esprits s'affrontèrent, j'abandonna. Je m'abandonna. Reprenant conscience que son don était plus puissant que mon esprit, je prenais contrôle sur le miens et modifiais mon corps de façon à être comme à l'habitude.

Cheveux blonds, presque translucides, yeux d'un rouges, vermeilles tirant sur le brique, traits fins, lasses, apparance narquoise. Taille fine, au prise entre les énormes et fortes mains des bras solides et durs d'une splendide statut de marbre au regard de ruby et au sourire enchanté. Je me laissais tomber contre son torse parfait en soupirant doucement quelques mots que je ne pensais pas vraiment.

-Je te déteste ... !

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Je la sentais ce battre. Essayer de garder sa mauvais humeur. Plus précisément sa jalousie qu'elle essayait si mal de cacher et d'étouffer par de la colère. Je voyais dans ses yeux l'effort qu'elle essayait de déployer. Je sentie son esprit chatouiller impreceptiblement le mien. Mais j'étais plus fort de ce côté-là. Ce pourquoi je ne déployais aucun effort et que ma chère Becky, de son côté, ce battait tant bien que mal.

Mais bientôt, j'eu pitité d'elle. Voir son visage cripé par l'effort, ses lèvres pincées, les paupières fermées. J'allais arrêter de monopoliser son esprit et son humeur, mais je vis qu'elle arrêta de se battre. Son visage se détendit ainsi que ses muscles et elle accepta l'humeur que je lui donna, mais je vis que c'était avec bien de regret. Puis tout son corps s'affaissa sur le mien. Je détendit quelque peu l'étau que j'avais fais de mes bras pour laisser un peu plus de place libre au corps de Becky.

- Je te déteste.

Trois mots. Elle ne les pensaient pas, au moins. Elle soupirait, faisant aller sa tête contre mon torse. À ce moment, je plongea mon nez ainsi que mon visage dans ses cheveux. Une odeur légèrement épicé et sucré se déguagait d'elle. J'en respirais le parfum tout en souriant. J'étais bien ainsi.

- Je le sais, je le sais et je t'aime tout autant, dis-je en embrassant ses cheveux d'un blond translucides.

( Désoler, petit poste XD )

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Je m'abandonna simplement. Ça ne servait finalement à rien de bien vouloir se débattre de lui. J'avais compris que son pouvoir était plus puissant que ma volonté, seulement je me résignait à bouder sa faculter de m'empêcher d'être fâché. Après tout j'avais quand même quelques raisons de lui en vouloir. Mais j'imaginais que ce n'était pas pour tout évité qu'il me contrôlait ainsi, juste un peu de calme ne pourrait jamais faire de mal à mon esprit fougueur...

Je souris entre un soupir et un léger tintement de rire, avant de me redressé doucement de son torse pour remonter lentement mes lèvres jusqu'à son visage. Il ne me refuserait pas cette attitude-là. Embrassant ses lèvres à maintes reprises je me laissais de nouveau choir sur son torse de marbre pour venir poser ma bouche toute proche de son oreille.

-Je ferme les yeux et continue à croire que cette nuit n'était qu'une raison de plus pour penser que cette Lydie est une manipulatrice sadique, sans coeur et parfaitement idiote ?

En gros, c'était un «Donc Lydie ce n'était rien?» Et il le comprendrait j'en étais plus que certaine. Ce qui me dérangeais c'était que la réponse tardait, et que si Vince tenait à ce que mon humeur de petite fille reste calme et gentille, il avait interêt à donner la bonne réponse. Je soupirais une fois de plus en me redressant une seconde fois, pour le regarder droit dans les yeux. Deux pairs de rubis se convoitant chacune l'une l'autre. Un sourire parfait se dessina sur mes lèvres qui revinrent une fois de plus poser un baiser sur celle de Vince.

[Désolée aussi pour le petit Rp]

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Maintenant, elle cessa tout efforts. Enfin ! Je n'aimais pas la contrôler ainsi. Contrôler ses sentiments, sa raison. Tout cela me dégoutais. Surtout quand je la controlait, elle ! Mais si je ne l'aurais pas fait, j'aurais eu droit à une crise, poings, dents et ma tête se serait retrouvée à rouler quelques mètres plus loin. L'image me fit rire. Mais ç'a été un bon choix que de contrôler ses émotions.

Mais maintenant que son corps était atrocement collé, moulé au mien, ma peau incendiait de partout. Chaque parcelles, chaque pores, brûlaient et se consumaient. Mais quand son visage s'approcha du mien, mes bras se refermèrent pour la maintenir à cette hauteur. Mais ce fut à ce moment que ses lèvres, à plusieurs reprises, s'emparèrent des miennes. Mais malgré cela, les baisers qu'elle déposa sur mes lèvres n'étaient pas endiablé comme ceux que j'aimais. Mais alors, elle me chuchota quelque chose à l'oreille, un sourire étira les miennes.

Cette chère Lydie. Jeune fille, plutôt jeune vampire, au coeur chaviré par l'amour. Sanguinaire, désespéré ainsi que légèrement suicidaire. Non. Mon coeur était réservé, emprisonné, tout ce que vous voulez, mais il était prit. Ce n'est pas dur à comprendre ! La place était prise. C'est pourquoi, le raisonement de Becky me fit sourire autant. Même rire. Je me contins d'éclater carrément de rire, mais un léger rire, subtil, souleva mon torse ainsi que le corps d'Elisabeth.

Celle-ci me plaqua à nouveau un baiser sur les lèvres. Mais celui-ci, je le lui rendit. Beaucoup plus passioné, amoureux, fougueux et endiablé. Je roula,ce qui plaça Becky en-dessous de moi. Je ne mis pas tout mon poids par reflexe pour ne pas l'écraser de tout mon poids. Mais elle était aussi forte que moi. Approchant mon visage du mien je ne pus m'empêcher de plonger mes yeux de rubis dans les siens.

- Vous jouez avec le feu, chère demoiselle, dis-je avec ma voix encore suave.

Invité

Déposée au sol, en-dessous de Vince, collée à son corps parfait et moulée à lui comme si ils étaient nés pour se tenir ainsi, je n'avais que faire des idiotes passés, et des faux sentiments que l'une comme l'un avait pu avoir pour l'autre. Au moment présent, rien ne comptait plus que nous. Nous seule, pourtant nous tous. Deux âmes sans âmes jointes ensemble pour une éternité d'amour et de passion.

Glissant doucement mes mains derrière sa nuque, je soulevais mon corps à la force de mes bras pour rapprocher mes lèvres des siennes. Pas un baiser. Un effleurement. Un frisson dont nous avions le secret. Mes lèvres passèrent sur la peau de marbre de son visage sans s'arrêter jusqu'à atteindre le bas de son coup. Y soufflant doucement, et en humant le parfum si bon de Vince, il devenait difficile de contenir la feu qui brûlait alors avec de plus en plus d'ardeur dans mes veines de glace.

C'était une soif qui n'avait rien à voir avec celle du sang que je ne ressentais jamais véritablement quand je me trouvais ainsi désirante de cet autre corps parfait juché contre moi. C'était un besoin ardent de déchainer ma passion avec cet homme qui me rendrait réciproquement tout cet amour. Je le savais. Et j'y répondait à l'instant.

Mes lèvres touchaient à peine la fine mais pourtant solide peau de la nuque de Vince quand je me plaquais fermement contre lui pour nous renverser une fois de plus. Nos corps roulèrent pendant un fou moment puis nous nous arrêtâmes doucement. Mes yeux de feux brûlants fixant ses pupilles de ruby où dansait cette même flamme de désir. Mes lèvres à quelques nano centimètres de sa peau parfaite, faisant parcourir des frissons tout au long de nos deux échines parfaitement synchronisées.

Ça ne dura pas bien longtemps. Un mouvement encore et je plaquais mes lèvres contre les siennes avec plus de frénésie que je n'en connaissais de ce monde. Mes mains passés dans ses cheveux maintenaient sa tête fermement sous les impulsions de mes lèvres et je me réjouissait des réponses ardentes qu'il m'envoyait malgré tout. Me séparant de lui que l'espace de quelques secondes je lui chuchotais doucement d'une voix de plus en plus fièvreuse.

-Et vous y jetez pourtant encore de l'huile mon cher...

Invité

Ses lèvres contre les miennes, son corps parfait soudé au mien, son désir aussi grand que le miens. Je voulais, comme à chaque fois, rester ainsi pour l'éternité, ne plus bouger, ne plus parler. Que le temps s'arrête. Quelques instants. Pour nous deux. Pour que nous puissions en profiter au maximum. Comme à chaque fois...

Nous roulions pendant un instant, un court et pourtant tellement fou instant. Nos lèvres se cherchèrent pendant que nos corps, eux, s'entre-lassaient comme jamais deux personnes ne l'avait fait auparavant. J'étais alors couché au sol, le corps de ma chère Elisabeth recouvrant le miens, ses lèvres baisant et mordant les moindres parcelles de mon visage atteignables.

-Vous faites aussi votre part...

J'embrassais encore et sans arrêt son corps parfait ainsi que ses lèvres vermeilles. Encore et encore, jusqu'à ce qu'un bruit, un craquement imperceptible arrive à mes oreilles. Une branche sûrement. Passant que ce n'était qu'un vulgaire petit écureuil, je ne m'en fit aucunement. Et puis, il y eu cette odeur. Cette odeur de chien mouillé. Cette odeur qui annonçait l'arrivé de quelque chose qu'aucun vampire sensé ne voulait rencontrer. Loup-garou...

-Ah non...

[ADMIN : Du nouveau avec ce RP ?
Jusqu'au 30 Aout pour poster une suite !
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